Verse 1 :
Labyrinthe , c’est sa qu’ma vie s’résume en quelques mots,
J’cherche la sortie sans penser qu’elle peut m’délivrer,
Gauche et droite , les décisions a prendre dans mon ghetto,
J’continue tout droit l’chemin est parfait pour la liberté,
Regarde tous ses murs autour de moi , s’tai bien un piège,
La vie réserve bien des problèmes qui nuient,
J’déduit que se casse-tête me rend endormi,
J’réveille mon cœur d’soleil en liège,
J’débouche mes pas pour m’rendre plus loin,
S’tun calvère quand ma tête sont mes mains,
J’écrit mes textes pour être l’meilleur de moi-meme,
Le raccourci n’existe pas dans ce monde d’haine,
L’entrée vient d’commencer et j’suis déjà perdu,
Comme un prisonnier j’suis déja prête a être rendu,
J’trébuche sans vouloir courir le marathon,
Tête levée , j’pense au futur et non au passé,
Pareil qu’un étranger , l’point de départ est a recommencer,
J’buche comme un fou pour m’démêler des motons,
La ligne droite est l’bonheur que tout l’monde veut espérer,
Sans recul , la vie m’fait chier dans cet société incomplétée,
J’marche par en arrière , sans revenir sur mes pas,
Trop complexe , ce labyrinthe m’fait forcer des bras,
Réflexion après réflexion , l’choix est fait,
Tous les bords semblent identiques , s’tun effet,
Les murs sont d’formes miroirs , tout est reflet,
Refrain :
J’me cache chaque jours sans vouloir men sortir,
Le passage est difficile mais tout peut s’finir,
Le parcours est un labyrinthe d’infini,
Les solutions sont trop grandes pour être choisie,
Verse 2 :
Presque rendu , j’perds pas la boule pi j’continue,
Fatigué , j’me défoule sur papier sans alcool,
Labyrinthe , j’commence comme si j’tai a l’école,
L’échec n’a jamais été penser dans ce monde continue,
Si , l’mot qui pourrais changer tout dans ce système,
Comme un problème , faut trouver l’emblème ,
J’cours pour m’sauver et arriver plus vite,
Tout mêler , toujours capable d’donner des hits,
Même enfermer , j’écoute mon rap pour m’rendre heureux,
J’suis peut-être capricieux mais j’chercher l’mieux,
La petite route étroite fait réveiller l’âme de Dieu,
La sortie est éluminé par lui qui prend soin d’nous,
J’parle de ma vie , d’mes yeux qui sont d’illusions,
Quand j’perds la tête , j’me demande ou sommes-nous,
J’me souviens qu’a l’entrée s’tai écrit attention,
En pensant a sa , j’me dit que c’est la fin,
Rien n’est terminer quand on peut trouver l’chemin,
L’effort que j’y mets , l’équilibre d’mon maintient,
Enfin arriver , tous les obstacles que j’ai surpassés,
Atteint au sommet , j’ai réussi mon défi,
J’ai pris l’risque d’la chance , comme lancé un dé,
Libre , délivrer d’mes souffrances finies,
Mon stylo tremble a la vue d’la dernière ligne,
J’suis statut d’la liberté sur la bonne ligne ,
Dernière rime , tout s’éteint pour la dernière ligne,
Refrain :
J’me cache chaque jours sans vouloir men sortir,
Le passage est difficile mais tout peut s’finir,
Le parcours est un labyrinthe d’infini,
Les solutions sont trop grandes pour être choisie,